Voyage à travers les sacrements : un jeu de l’oie sur la célébration des sacrements
Un jeu extrait de la revue Initiales n°238 « Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit »
Voyage à travers les sacrements est un jeu de plateau, type jeu de l’oie, au cours duquel il faut collecter quatre indices sur un sacrement mystérieux avant d’arriver sur la case « Arrivée ». Le but est d’atteindre en premier cette case.
Ce jeu permet de découvrir en quoi la célébration d’un sacrement nous invite à entrer en relation avec le Père, avec le Fils, et avec les autres.
Durée :
30 minutes
Matériel :
- le plateau de jeu (au moins) au format A3
- les cartes indices
- 1 dé
- 1 pion pour chaque joueur (ou binôme)
- Télécharger le matériel
Objectif :
Permettre aux jeunes de découvrir que par les sacrements, nous sommes invités en permanence à entrer en relation avec Dieu et nos frères.
But du jeu
- Être le 1er joueur (ou binôme) à parvenir sur la case Arrivée, avec l’obligation d’arriver pile sur la case.
- Récolter les 4 indices concernant un sacrement au cours du jeu (comme pour la case Arrivée, il faut tomber pile sur la case Indice ; si le joueur fait un score au dé supérieur au nombre de case le séparant de la case indice, il devra reculer d’autant de cases supplémentaires).
- Deviner le sacrement mystère
Comment jouer ?
Chaque joueur (ou binôme) joue le dé à son tour, et avance d’autant de case que le chiffre obtenu.
1er temps : jouer
Demander aux jeunes de bien garder les cartes indices.
- Case Résurrection : le joueur avance de nouveau du nombre de point réalisé.
- Case Indice : le joueur reçoit une carte indice (Indice 1 sur la 1ère case Indice, etc.),
- Case Prison : le joueur ne pourra rejouer que lorsque tous les autres joueurs seront passés ; s’il est le dernier, il passe simplement un tour.
2nd temps : échanger
Prendre le temps du débat pour partager ce qu’on a découvert des sacrements au travers des indices récoltés.
- A quoi est-on invité lors de la célébration d’un sacrement ?
- Qu’y a-t-il dans les indices et dans ce qu’on connaît qui dise qu’au trave